_ COPPERMAN ; Aaron • One by one the pieces fall

•• NEVER BE THE SAME

• Nom : Copperman
• Prénom(s) : Aaron Justin. Il ne possède que deux noms, ce qui lui convient tout à fait. Après tout, qui se soucie du troisième prénom des gens ?
• Âge : 27 longues années.
• Date et Lieu de naissance : Aaron est né dans la ville de Portland, Maine, une matinée de Mai. Le 29, plus précisément.
• Occupations : Suite à un parcours sans faute à l'université de Yale, Aaron a décidé de devenir médecin. Il exerce depuis maintenant deux ans à l'hôpital de la ville, et fait figure d'exception, étant le plus jeune chirurgien de toute l'équipe.

•• THE BLOOD IN YOUR VEINS

• Capacité paranormale : Depuis peu de temps, Aaron est capable de créer des rayons d'énergie oculaire, c'est à dire à l'aide de son seul regard, à l'instant même où il le souhaite. Cette étrange particularité ne lui est guère utile, tant au niveau de son travail que dans la vie de tous les jours, mais il ne l'échangerait pour rien au monde. Plus précisément, en se concentrant et grâce à l’étrange faisceau de couleur rouge, il fait littéralement fondre la cible de son choix. En revanche, s’il a le malheur de viser une source d’énergie quelconque, que ce soit de l’électricité ou du carburant, les risques de tout faire exploser sont décuplés, ce qui en fait un don extrêmement délicat à utiliser. Mais le jeune homme sait maintenant le maitriser pour qu’il ne se déclenche plus par mégarde, évitant ainsi les risques d’accident.

• Nervus : L'adrénaline. Relativement dangereuse, la capacité d'Aaron ne se manifeste pas d'elle même, mais sous l'effet d'un effort de concentration. En revanche, lorsqu'il est dans une situation périlleuse ou simplement sous l'effet d'une poussée d'adrénaline, les rayons se déclenchent toujours beaucoup plus facilement, l'obligeant à se concentrer d'autant plus pour les arrêter. Car Aaron n'est pas le genre de personne à avoir un besoin vital d'éclair lumineux lui sortant des yeux.
• Tenius : Le feu. Proche et pourtant différent de l'énergie qu'il est capable de produire, le feu et par extension les flammes l'empêche d'utiliser son pouvoir. Ainsi, qu'il soit en présence d'une cigarette allumée ou d'un bougie inhibera totalement son don, réduisant ainsi les risques d'accidents. Il s'agit de la seule source d'énergie qu'il ne soit capable de faire exploser, heureusement pour lui.

•• TELL ME WHO YOU ARE

» Cinq choses importantes à savoir :

* Le parcours scolaire, et par extension, professionnel, d’Aaron est digne du mythe américain du self-made man. Originaire d’une famille modeste sans pour autant être dans le besoin, il a très vite compris que s’il voulait réussir, il devait se débrouiller par lui-même. Ses résultats scolaires, associés à sa position de quater back dans l’équipe de football américain de son lycée lui permirent de décrocher une bourse dans l’une des université les plus prestigieuse du pays, Yale. Il suivit alors un cursus du médecine avec brio, s’octroyant des offres d’emplois dans les plus grands hôpitaux du pays. Son choix se porta sur celui de Boston, en raison de la proximité géographique de cette ville avec sa ville natale, et l’affection particulière qu’il lui porte. En revanche, depuis qu’il est en poste en temps que chirurgien, il préfère laisser sous silence son origine sociale, sachant pertinemment qu’il ne peux rivaliser avec ses pairs. Il ne vient pas du même monde, et il en est conscient, bien qu’il n’ai pas honte de ce qu’il est.

* Aaron est une personne qu’on ne peut qu’apprécier, et ses ennemis se comptent sur les doigts d’une main, bien qu’il n’en ai aucun à sa connaissance. D’une nature foncièrement bonne, son naturel sociable en font un ami sur qui compter sans le moindre risque de duperie : il est incapable de se montrer volontairement mauvais avec les gens, bien qu’il n’apprécie réellement que ceux qu’il estime. Cela ne l’empêche pas de se montrer aimable avec tous, du personnel de l’hôpital au vendeur de café en passant par le directeur, raison pour laquelle il est autant apprécié. S’il s’agit d’un trait de caractère naturel, Aaron agit cependant ainsi depuis qu’il est entré à Yale : sachant qu’il n’était pas au même pied d’égalité que ses camarades, il lui fallait d’autres atouts pour se faire accepter. Depuis, il continue de se comporter ainsi : après tout, pourquoi être désagréable quand on peut se faire aimer de tous ?

* Lorsqu’il avait 18 ans, c’est-à-dire après avoir terminé ses années lycées, Aaron a entreprit un tour de l’Europe avec l’argent gagnée grâce aux différents petits boulots qu’il réalisé depuis son plus jeune âge. Une année entière, il fit le tour des capitales, des points importants en évitant au maximum les zones touristique. Maitrisant assez bien le français et se débrouillant pour se faire comprendre en allemand, il a pu se faire accepter rapidement dans les groupes de jeunes des pays où il allait particulièrement en Autriche et en France. Ce voyage le marqua profondément, tant au niveau de ses relations avec les autres qu’à propos de son propre pays : le comparer avec ce qu’il avait vu dans les pays de l’Est lui rappelait qu’il avait de la chance de vivre où il était, tandis qu’il réalisait de plus en plus qu’il vivait dans un monde miné par l’argent et le pouvoir. Repenser aux moments d’insouciance vécu durant cette période lui permet de relativiser un peu quand la pression devient trop forte.

* Etant médecin, chirurgien de surcroit, Aaron a conscience que le corps est un instrument fragile. Néanmoins, il pratique énormément de sport, poussant parfois ses limites jusqu’au bout du supportable. En plus d’avoir pratique le football américain durant ses années d’études presque deux heures chaque jour, il passe une bonne partie de son temps libre à s’essayer aux sports extrêmes, jouant parfois avec le feu un peu outre mesure. Ajouté à son heure de footing matinal quelque soit le temps, il est aisé de comprendre à quel point l’exercice physique lui est nécessaire. Indispensable. Resté enfermé sans rien faire lui mine le moral à vue d’œil, et il pourrait presque considéré comme un accro de l’effort. Il est conscient de cela, mais il s’agit de sa seule échappatoire aux interrogations que son pouvoir suscite et la pression crée par son métier. Son régime alimentaire est toutefois bien loin de ce que l’on pourrait penser, puisqu’il consomme des quantités astronomiques de cafés et est friand consommateurs des ventes à emporter. Aucune logique, effectivement.

* Si son parcours professionnel est exemplaire, sa vie privée, personnelle, est totalement différente. Derrière sa nature agréable se cacher un jeune homme incapable de s’impliquer totalement dans une relation amoureuse : bien qu’il y mette de la bonne volonté, tout finit immanquablement par une rupture venant de la demoiselle, en raison de son manque d’implication. Dévoiler ce qu’il ressent réellement n’a jamais été facile, encore moins lorsqu’il s’agit de sujets qui le touchent réellement mais qu‘il y ai eu plusieurs femmes ayant vraiment compté pour lui. C’est inévitable, il ne peut pas s’engager vraiment. Il est cependant resté en très bons termes avec toutes ses anciennes petites-amies, bien qu’il se demande encore ce qu’il devrait faire pour que cela fonctionne. Se remettre en question a été une étape comme une autre, sans qu’il ne s’y attarde. Peut être parce qu’il n’a jamais rencontré quelqu’un qui l’aurait vraiment incité à laisser tomber ses appréhensions.

•• AS THE WORLD FALLS DOWN

• Histoire :

Septembre 2000. Aaron a 19 ans.


« Bienvenue à la promotion 2004 de Yale. »

Un sac sur le dos, Aaron fixa la banderole aux couleurs de l’université si prestigieuse qui flottait sous l’effet d’une légère brise. Son sac sur le dos, tranchant avec la tenue vestimentaires impeccables des autres étudiants, il ne souriait pas d’un air supérieur puisqu’il avait réussit à intégrer une des facs de l’Ivy League, mais était perdu dans ses pensées. Il avait quitté sa ville natale, était revenu d’un voyage plus que mémorable en Europe et allait commencer sa scolarité dans quelques heures. Changer de vie, se fondre dans le moule. Pourtant, ce n’était pas au futur qu’il pensait, mais au passé. A ce qu’il avait du sacrifier pour en arriver là, les efforts qu’il avait du déployer. Plus que la majorité de ces fils à papa, assurément. Mais il n’était pas du genre à ce laisser abattre, et se positionnait plus du côté positif de la chose. Son entourage le soutenait, ses amis croyaient en lui. Il y arriverait. Il le savait.



Juin 2004. Aaron à 23 ans.


« Medecine Insitution's diploma, Yale University, décerné à Mr. COPPERMAN Aaron avec les félicitations du jury. »

C’était la fin. Il avait réussit, avait obtenu son diplôme de chirurgien. Il avait gravit avec brio les échelons de la hiérarchie un à un, puis avait réussit à dépasser ceux qui lui semblait d’un autre monde. A force de travail, il avait réussit à obtenir ce qu’il voulait. Il pouvait maintenant exercer, et avait de choisit de revenir à Boston. La ville de son enfance. Celle où il à passé toutes ses vacances. Celle où il s’est rendu compte qu’il n’était finalement pas totalement ordinaire. Loin de là même. Pourtant, au lieu d’hurler de joie comme ses camarades, Aaron se contentait de sourire, échangeant quelques félicitations avec la plupart de ses camarades. Eux avait un avenir tout tracé, lui avait encore beaucoup à parcourir. Il devait prouver sa valeur partout où il se rendait, n’étant pas du même monde que les autres. Mais cela, il le savait. Maintenant, il n’avait qu’à continuer comme il l’avait toujours fait.


Novembre 2006. Aaron à 25 ans.


« CODE BLEU. »
« Appelez un chirurgien »
« Bipez Copperman »

Deux minutes après, Aron arrivait sur les lieux, légèrement ébouriffé mais tout à fait alerte. Le son de son bipper l’avait tiré d’un profond sommeil qu’il a eu, comme toujours, du mal à obtenir. Il dormait très peu, et cela commençait à sérieusement lui miner la santé. Pourtant, il était de loin un talentueux chirurgien, toujours disponible. Ou presque. Lorsqu’il entra dans la chambre du patient, de nombreux infirmiers étaient déjà sur les lieux, s’activant auprès des appareils. A l’instant même om il pénétra dans la chambre, un interne lui fit un rapport détaillé. Cela se présentait plutôt mal, mais le jeune chirurgien ne se démonta pas, et après l’avoir remercié d’un signe de tête, commença à donner plusieurs instructions, exécutées dans l’instant. Pourtant, sa concentration n’était pas exclusivement due à l’intervention à proprement parler, mais aux conséquences. L’adrénaline montait au fur et à mesure que les traitements échouaient, et il savait que son pouvoir, cette capacité dont il était étrangement doté, risquait de se déclencher s’il n’y prenait pas garde. Sa réflexion dura une fraction de seconde, puis il se força à inspirer calmement et, après avoir étudié la situation sous tous les angles, ordonna le transfert en salle d’opération. Trois heures après, les jours du patients n’étaient plus danger.


Juillet 2008. Aaron à 27 ans.


« Après deux ans passé à l’hôpital universitaire de Boston, le jeune Aaron Copperman, 27 ans et diplômé de Yale, est promu titulaire et rejoint l’équipe de spécialiste dont il est dorénavant le plus jeune élément. »

Sa nomination avait fait la une du journal interne, et tous n’avait parlé que de ça pendant des semaines. Il avait eu à subir quelques remarques désobligeantes, mais dans l’ensemble, il ne reçut que félicitations. Comme s’il recherchait l’admiration. S’il avait choisit cette profession, c’était avant tout pour aider les autres, parce qu’il en était capable et savait que c’était là ce qu’il faisait le mieux. Avec le football américain, bien entendu. Cependant, à ce moment précis, il se fichait éperdument d’être interne ou titulaire. Son pouvoir avait manqué de faire exploser un générateur de l’hôpital, et il s’en était de fallut de peu pour qu’il se fasse remarquer. Contrairement à West, il préférait garder cela secret. S’en débarrasser aurait était de loin l’option la plus avantageuse, mais malheureusement ne faisait pas partie des choix auxquels il pouvait prétendre. Il devait donc faire avec, faire de son mieux pour que les étranges rayons ne se déclenchent pas. Ne pouvant s’en défaire, il devait s’y adapter. Si bien que, pour évacuer la pression à laquelle il était soumis, et sachant qu’il ne pouvait montrer cela à qui que ce soit, il avait pris l’habitude de courir. Comme aujourd’hui. Sauf qu’il était 2h56 du matin. Son insomnie avait parfois du bon, lui laissant beaucoup de temps libre. Qu’il utilisait à se dépenser, parfois trop. Son iPod sur les oreilles, il dévala les marches de son immeuble au pas de course, avant de se diriger vers le parc à petites foulées, parcourant les rues qui auraient du être désertes, mais qui abritaient pourtant nombre de passants. Mais il ne s’en occupait. Ces moments était les seuls où il n’avait pas besoin de jouer un jeu, ou se forcer d’être toujours heureux. Il pouvait rester seul, aller au bout de ses limites. Courir jusqu’à ce que ses jambes le lâchent. Le parc n’était qu’à un kilomètre, et il entama un tour en accélérant sensiblement sa vitesse. Puis, quand l’obscurité l’empêcha de voir jusqu’à ses propres chaussures, il s’asseyit sur un banc, reprenant son souffle avec difficulté. Assurément, quelque chose clochait chez lui, puisque les gens normaux passaient leur nuit à dormir au lieu de courir à toute allure. Mais il ne savait pas quoi.

•• THE SECRET YOU'LL NEVER TELL

- La plupart du temps, il évite de laisser transparaitre ses émotions quand elles sont du domaine de la colère ou de la peur. C'est plus facile ainsi.
- C'est un adepte du cinéma, même s'il ne connait aucun des réalisateurs célèbres. Ce qui l'intéresse, c'est l'histoire, pas la mise en scène.
- Il s'est cassé le poignet gauche 5 fois. Jamais le droit.
- Il écoute en alternance de punk rock et de la musique classique, selon son humeur. Le punk lorsqu'il est énervé, le piano lorsqu'il est anxieux.
- De tous les sports praticables aux Etats-Unis, il en a un seul qu'il n'a jamais essayé. La danse. Il est d'ailleurs un si piètre danseur que cela mériterait d'entrer dans les annales.
- Un temps, il jouait de la batterie. Faute de temps et de talent, il arrêta.
- L'usage du rasoir est probablement le seul domaine où il est relativement médiocre. Et puis qu'il aime assez l'effet qu'une barbe de deux jours donne, il ne se rase jamais totalement.
- Il boit beaucoup trop de café.

• Avatar : Dave Annable
• Pseudo : Liily. Oui, les devinettes ne sont pas mon fort.
• Comment avez-vous connu le forum : Bonne question. Je crois que c'est grâce à Cyclope, encore que j'ai un léger doute ...
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LAVOIIISIIER

Ma Rainette

Ma Grenouille

MA LIILY D'AMOUR

HAN JE VOUS AIME TOUTES

Welcome.

Pourquoi le ' ' ?

Parce que je suis timide. *ZBAF*

Lorelei Tanprell a écrit:

Parce que je suis timide. *ZBAF*

Dis le que tu veux lui sauter dessus va

Pas du tout

Genre
Personne ne peut résister à Liily en Dave

Même moi
GOSH

Même toi ?

Dave est irrésistible

Même moi pas résister Dave *paf*

Moi je résiste assez bien.
Même si je trouve que Dave a des faux airs de Matthew Fox.

Oh putain dans B&S il a pas que des faux

Citation :

Car Aaron n'est pas le genre de personne à avoir un besoin vital d'éclair lumineux lui sortant des yeux.

A fond d'accord

Si son tenius c'est le feu il va pas aimer le pouvoir de West

Un Cyclope 2.

Sauf que lui aura pas les lunettes

Dubble > D'un côté son pouvoir moins il s'en sert et mieux il se porte, alors il s'en fiche un peu que West soit pyromane sur les bords

Ah on va se marrer à la maison, Randie on va devoir faire installer des alarmes incendies